The group’s engagement of local and rural community radio stations worked wonders in the effort to spread the message about the dangers of Ebola, as they urged communities to heed warnings from the Ministry of Health and to follow protocols ensuring that they remained aware of the disease and did not become complacent.
The radio stations conducted live talk shows with community leaders discussing the Ebola virus, preventive measures and ways communities could work more closely to protect their people. These talk shows, especially in rural communities, were done in local vernacular language, for a wider reach and accessibility.
GPFA provided sub-grants to twenty organizations and 15 media stations spread across Montserrado, Grand Bassa, Grand Cape Mount, Rivercess, Bomi, Margibi, Grand Gedeh, Bong, and Nimba Counties. AWDF’s grants of $600 to each community organizations and$100 to $300 to each media house, emboldened them to stand up in their communities and help.
The group also gave grants for soap and hygiene materials, training of community and community actors on signs and symptoms of Ebola and contact tracing. Women and young girls were in the forefront of many of these efforts.
Through GPFA’s collaboration with media institutions, many members of the public came to accept that Ebola was not deliberately spread by the government, as was widely believed across parts of the country.
Another major accomplishment has been the engagement of community-based organizations in community awareness on the rights of girls and women. As the affected countries cautiously wait for the outbreak to be declared over, there is still the need to further strengthen the capacities of rural organizations to prepare them against future emergencies.
To date Ebola has killed over 10,000 people in the world’s worst outbreak, after infecting close to 24,000 in Guinea, Sierra Leone and Liberia.
La subvention à court terme du Fonds Afriain de développement de la Femme pour Gbowee Peace Foundation Africa (GPFA) au Liberia a permis aux organisations communautaires dirigées par des femmes et des groupes de jeunes d’organiser l’éducation et la prévention à Ebola dans les quartiers informels de Montserrado et six autres comtés du Liberia.
L’engagement de l’ensemble des stations de radio communautaires locales et rurales a fait des merveilles dans l’effort de diffusion de message sur les dangers du virus Ebola, comme ils ont exhorté les communautés à tenir compte des avertissements du ministère de la Santé et de suivre les protocoles assurant qu’ils restaient conscients de la maladie et ne pas devenir complaisants.
Les stations de radio ont organisé des débats en direct avec les dirigeants communautaires afin de parler du virus Ebola, des mesures préventives et des façons qu’ont les communautés pour collaborer plus étroitement pour protéger leur peuple. Ces talk-shows, en particulier dans les communautés rurales, ont été faites dans en langue vernaculaire, pour une plus grande portée et accessibilité.
GPFA a fourni des sous-subventions à vingt organisations et 15 stations de médias répartis à travers Montserrado, Grand Bassa, Grand Cape Mount, Rivercess, Bomi, Margibi, Grand Gedeh, Bong et Nimba. Les subventions d’AWDF de 600 $ à chacun des organismes communautaires et de 100 $ à 300 $ pour chaque maison de média, les a enhardis pour se tenir debout dans leurs communautés et venir en aide.
Le groupe a également donné des subventions pour l’hygiène, du savon et du matériel, des formation à la communauté et à des acteurs communautaires portant sur les signes et symptômes d’Ebola et le dépistage. Les femmes et les jeunes filles étaient à la pointe de bon nombre de ces efforts.
Grâce à la collaboration de GPFA avec des institutions de médias, de nombreux membres du public en sont venu à accepter que le virus Ebola n’a pas été délibérément propagé par le gouvernement, comme cela a été largement considéré dans certaines régions du pays.
Une autre réalisation importante a été la participation des organisations communautaires dans la sensibilisation des communautés sur les droits des filles et des femmes. Comme les pays touchés attendent prudemment de déclarer l’épidémie comme terminée, il y a toujours la nécessité de renforcer les capacités des organisations rurales pour les préparer contre les urgences futures.
À ce jour Ebola a tué plus de 10.000 personnes en faisant l’une des pires épidémies dans le monde, après avoir infecté près de 24 000 personnes en Guinée, en Sierra Leone et au Libéria.