[tp lang=”en” not_in=”fr”]Smallholder farmers account for most of the agricultural sector in Cameroon. Their use of rudimentary agricultural techniques, haphazard planting methods and unfamiliarity with the use of fertilizers, results in low productivity and low yields. This is frustrating and keeps them in a cycle of extreme poverty.
But thirty lucky women farmers from Alou and Bafoussam in the southwest region, had a big break when they came together for a skills training session organized by Comité d’Assistance à la Femme Nécessiteuse du Cameroun (CAFENEC), an AWDF grantee.
The farmers were taught modern farming techniques for maize, the most widely cultivated cereal in Cameroon. Prior to this, most of their efforts were unsuccessful because of the lack of expertise in planting methods and fertilizers.
During pacing training, the women learned to measure their land by walking the length and width, each pace measured to equal a number of meters. These measurements are essential to ensure that farmers use the correct plant spacing and fertilization rates on their plots.
Success was immediate. Following the first set of training, trainees could already understand and explain the reasons for their previous failure and poor harvest.
“We now know why our crops did not grow well[…] this is because we plant different crops on the same piece of land. We put many grains in a hole instead of two and we do not respect the spacing between the holes,” said Monica Chumoh, a trainee who is president of a women farmers’ association.
After their training the participants were anxious to return to their communities to teach others. All are hopeful that their training will result in a boost in productivity and farm yields, which of course would translate to higher incomes.
Alou and Bafoussam were selected because of the plentiful and accessible land areas. CAFENEC has committed to help women farmers produce enough maize for their food security and income generation from individually owned one to three-acre plots.
The aim of the project is to improve rural livelihood and nutrition among households in Alou and Bafoussan and to ensure food security in beneficiary households.[/tp]
[tp lang=”fr” not_in=”en”]Les petits fermier représentent la majorité du secteur agricole au Cameroun. Leur utilisation de techniques agricoles rudimentaires, des méthodes de plantation aléatoires et le manque de familiarité avec l’utilisation d’engrais, se traduit par une faible productivité et de faibles rendements. Ceci est frustrant et les maintient dans un cycle de pauvreté extrême.
Mais trente paysannes chanceuses d’Alou et Bafoussam dans la région sud-ouest, ont fait une grande pause quand elles se sont réunies pour une session de formation technique organisée par le Comité d’Assistance à la Femme Nécessiteuse du Cameroun (CAFENEC), un bénéficiaire d’AWDF.
Les agricultrices ont appris les techniques agricoles modernes pour le maïs, la céréale la plus cultivée au Cameroun. Avant cela, la plupart de leurs efforts ont échoué en raison du manque d’expertise dans les méthodes de plantation et les engrais.
Pendant la formation accélérée, les femmes ont appris à mesurer la longueur et la largeur de leurs terres par la marche, chaque pas mesuré correspond à un certain nombre de mètres. Ces mesures sont essentielles pour assurer que les agriculteurs utilisent les taux d’espacement des plantes et de fertilisation correctes sur leurs parcelles.
Le succès fut immédiat. Après la première série de formation, les stagiaires pouvaient déjà comprendre et expliquer les raisons de leurs échecs précédents et les mauvaise récolte.
“Nous savons maintenant pourquoi nos cultures ne poussent pas bien […] cela est parce que nous plantons des cultures différentes sur le même morceau de terre. Nous avons mis beaucoup de grains dans un trou au lieu de deux et nous ne respectons pas l’espacement entre les trous “, a déclaré Monica Chumoh, une stagiaire qui est présidente de l’association des femmes agricultrices.
Après leur formation, les participants avaient hâte de retourner dans leurs communautés pour enseigner aux autres. Toutes espèrent que leur formation se traduira par une hausse des rendements de productivité et de la ferme, ce qui bien sûr se traduirait par des revenus plus élevés.
Alou et Bafoussam ont été sélectionnées en raison des zones cultivables abondantes et accessibles. CAFENEC s’est engagé à aider les agricultrices pour qu’elles produisent assez de maïs pour leur sécurité alimentaire et générer des revenus à partir de parcelles appartenant à des particuliers de un à trois acres.
Le but du projet est d’améliorer la vie en milieu rural et la nutrition des ménages à Alou et Bafoussan et d’assurer la sécurité alimentaire dans les ménages bénéficiaires.[/tp]